EXTRAITS DE L'ENQUÊTE SLOVENE DE 1993:
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Une comparaison des déclarations de Cesen données en 1990/91 avec celles en 1993 révèle les assertions contradictoires ainsi que le fait que dans ses efforts pour faire preuve de son ascension a Lhotse Tomo Cesen ne dit pas la vérité.
Note :
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintien d’avoir pris la photo de la combe ouest de l’Everest du Sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l’étranger il présente une photo appartenant à Groselj !
En 1993, après l’ouverture de cette affaire se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent bien à ce dernier, Cesen affirme de n’avoir jamais photographié quoi que ce soit du sommet du Lhotse, de ne posséder aucune photo du sommet et de ne pas disposer d’aucune preuve matérielle de son ascension du Lhotse et de l’avoir dit partout et à tout le monde immédiatement après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées ci après :
Page 2.
ANNEE 1990/1991
Les assertions de cesen qu’il avait pris la photo de la combe ouest de l’Everest du sommet du Lhotse et que ces photos (publiées dans Vertical des éditions Glénat N°28 1990, page 61, 1-2 ) ont été prises par lui-même !
Effectivement, il s’agit de deux photos de vicky Groselj et le trucage des éditions Glénat à constitué à publier cette photo à l’envers (N°1) et accompagnée du commentaire de texte disant:
Une comparaison des déclarations de Cesen données en 1990/91 avec celles en 1993 révèle les assertions contradictoires ainsi que le fait que dans ses efforts pour faire preuve de son ascension a Lhotse Tomo Cesen ne dit pas la vérité.
Note :
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintien d’avoir pris la photo de la combe ouest de l’Everest du Sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l’étranger il présente une photo appartenant à Groselj !
En 1993, après l’ouverture de cette affaire se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent bien à ce dernier, Cesen affirme de n’avoir jamais photographié quoi que ce soit du sommet du Lhotse, de ne posséder aucune photo du sommet et de ne pas disposer d’aucune preuve matérielle de son ascension du Lhotse et de l’avoir dit partout et à tout le monde immédiatement après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées ci après :
Page 2.
ANNEE 1990/1991
Les assertions de cesen qu’il avait pris la photo de la combe ouest de l’Everest du sommet du Lhotse et que ces photos (publiées dans Vertical des éditions Glénat N°28 1990, page 61, 1-2 ) ont été prises par lui-même !
Effectivement, il s’agit de deux photos de vicky Groselj et le trucage des éditions Glénat à constitué à publier cette photo à l’envers (N°1) et accompagnée du commentaire de texte disant:
"au sommet Tomo a juste eu le temps de photographier la combe ouest de l’Everest, qui authentifie son ascension".
Pour de vrai, Cette Photo de la combe ouest a été prise par Vicky Grosselj le 30 avril 1989 à 8350m dans la paroi ouest du Lhotse et non la face Sud, environ 200 m sous le sommet.
LA PREUVE MANIFESTE DE LA FRAUDE EST DONC APPORTÉE PAR CESEN LUI-MÊME AVEC UNE UTILISATION D’UNE PHOTO QUI N’EST PAS DE LUI ET N’EST MEME PAS DE LA FACE SUD. S’IL Y AVAIT MIS LES PIEDS, IL S’EN SERAIT RENDU COMPTE. CE QUI SERA CONFIRME PAR LES RUSSES QUI FERONT BIEN LA PREMIÈRE DE LA FACE SUD AU PRIX DE RISQUES ET DE PERTES CONSIDÉRABLES.
1. Le Vertical N° 31 Jan février 1991, Article « Tomo Cesen répond »
Sur Vertical (en réponse à l’affirmation des russes disant que Cesen n’avait absolument pas pu prendre la photo de la combe ouest de l’Everest en venant par la face sud car depuis cet itinéraire, cette combe n’était absolument pas visible. De fait cesen utilise la photo Groselj (expédition Slovène de 1989 versant Ouest , voie normale) et cela confirme que les Russes ont non seulement bien fait le Lhotse face Sud, car Cesen en utilisant une photo volée à Vicky Grosselj confirme bien qu'il n'a jamais mis les pieds au Sommet. Si Comme les Russes il l'avait fait, il aurait su cela. La Photo de Groselj est prise face ouest et 200m sous le sommet, détail que Cesen ignorait lors de ses mensonges.
Mais Cesen continue dans ses délires intéressés :
Pour justifier le fait que personne ne l’ait vu faire son ascension, il prétend l’avoir faite sous le mauvais temps. Il en sera de même pour ses prétendues Trilogie (Cervin-Jorasses-Eiger), ascensions au K2, Jannu, ….
« Tu dis qu’il faisait mauvais temps, et sur la photo (que Cesen assure toujours être la sienne) , il fait beau temps sur la combe ouest coté everest ? »
Cesen, qui ne perd pas son aplomb ( il ne sait toujours pas à ce moment que son escroquerie et son usage de photos prises par un autre est connue) :
« c’est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud alors qu’en direction de l’Everest, il fait beau. PLUSIEURS PERSONNES ONT VU CETTE PHOTO, ELLE NE POSE PAS DE PROBLEME ( sauf qu’elle n’est pas de lui , pas de la bonne Paroi, Pas du sommet, ni même publiée à l’endroit sur vertical, mais à part cela, ….) ELLE EST A LA DISPOSITION DE TOUS CEUX QUI VEULENT L’EXPERTISER. (Ivano Ghirardini la demandera aussitôt par lettre AR adressée à Cesen à Kranj et la photo, il l’attend toujours 16 ans après).
2. Le vertical , N°32, fév./Mars 1991, article Boomerang: lettre publique de Cesen en réponse à Mr Ivano Girardini qui dès le début (1986) avait mis en cause cette ascension et toutes les autres, allant même contre les avis de Messner et Bonatti qui visiblement voulaient, comme Pierre Béghin hélas, en rester à la parole donnée comme c'est coutume chez les alpinistes. Messner et Bonatti reviendrons ensuite sur ce bénéfice accordé à la bonne foi, lorsque la supercherie sera démasquée. On attend toujours 16 ans après que la justice française, les éditions Glénat, la pègre chamoniarde fassent de même, malgré les dizaines de plaintes déposées dans cette affaires et qui n'eurent jamais aucune réponse des Procureurs de la République auprès du TGI de Bonneville ( ripoublique de façon certaine dans ce cas). Ceci montre que la justice de Haute Savoie, si besoin de preuves il y avait, est entièrement sous contrôle mafieux.
Les mensonges de Cesen continuent de plus belle :
« avant de me lancer dans la face sud du lhotse, je savais déjà qu’en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu’un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C’EST POURQUOI J’AI DEPENSE BEAUCOUP D’ENERGIE A PRENDRE DES CLICHES DANS LA PAROI ET AU SOMMET. En réalité il avouera ensuite aux autorités népalaises n'avoir fait aucune photo, c'est dire l'aplomb avec lequel il peut mentir. »
C’est à mourir de rire, la seule énergie dépensée à été de courir après les photos des autres expéditions Slovènes dont celles de Groselj et d’en faire des copies que Vertical à 100% dans l’escroquerie depuis 1986 publiera à l’envers pour les masquer un peu.
Cesen continue :
« Malheureusement, lors d’une conférence que j’ai donné à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance , j’ai pu récupérer les plus importantes….. »
« Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l’Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s’engager sur le sommet, ce que j’ai fait, malgré un vent très violent. Les Deux soviétiques ont, parait-il, affirmé n’avoir pas vu la combe ouest et en ont conclu que je n’avais pas atteind le sommet, …. »
ASSEZ D’HORREUR! ASSEZ DES ESCROCS CESEN, VERTICAL, RIPOUBLIQUE FRANCAISE ! Les « Soviétiques » ont accompli une extraordinaire réussite au prix de graves gelures et d’amputations. Eux sont propres! ils ont fait fait ce qu’ils ont dit avoir fait et en sont marqués dans leurs chairs. Vous, les sbires de la pègre chamoniarde, vous donnez envie de vomir avec votre sordide bidonnage nauséabond !
Lors de l’année 1993 : Cesen avouera la vérité après que Vicky Groselj ait fait savoir que Les deux photos publiées dans Vertical étaient les siennes et que Cesen en avait fait copie lors d'une visite chez sa femme alors que lui même était en expédition. Devant l'évidence de la fraude:
CESEN DECLARE ALORS N’AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIE DEPUIS LE SOMMET ET DE NE PAS DISPOSER DE PHOTOS DEPUIS LE SOMMET ET DE NE PAS DISPOSER NON PLUS D’AUCUNE PREUVE DE SON ASCENSION ET DE L’AVOIR DIT PARTOUT ET TOUJOURS.
Devant la commission de l’union des alpinistes de Slovénie, Il confirmera avoir bien utilisé sans aucune permission les deux photos subtilisées à Vicky Groselj pour faire croire à sa première ascension et les vendre pour étant siennes au magazine Vertical et ce à le demande des éditions Glénat.
Il ajoutera avoir déclaré ne pas posséder de photos de son ascension au Ministère du Tourisme Népalais et que donc son ascension n’avait pas été authentifiée à Katmandou.
POURQUOI DONC TOUT CE BRUIT AUTOUR D’UNE BANALE ET MINABLE ESCROQUERIE ? SIMPLEMENT LES IMMONDES MAGOUILLES POLITICOMAFIEUSES DE LA VALEE DE CHAMONIX ET DU « GAULLISME » .
L’Affaire Cesen, n’est pas une affaire Slovène. Il n’y a jamais eu d’affaire Cesen en Slovénie car ce dernier a reconnu son vol et sa supercherie avec Vertical dès le 21 avril 1993.
Cesen n’est qu’une sordide manip « gaulliste » en zone mafieuse chamoniarde sur fond d’escroqueries immobilières et de nettoyage de zone. Tous les services de la ripoublique participeront à l’escroquerie : Procureurs de Bonneville, Prefet, Ensa, Marmier, DDCCRF, …..
Cela donne envie de vomir, comme la « chiraquie » donne envie de vomir.
Cette sordide affaire va provoquer une hécatombe dans l’alpinisme français de haut niveau en totale impunité car les Procureurs de Bonneville alertés par des plaintes déposées dès 1986 par Ivano Ghirardini sur le préjudice que son entreprise de fabrication d'articles de sports subissait du fait des contrefaçons mafieuses ayant pour origine la pègre chamoniarde ne seront jamais instruites. Dès 1986, Ivano Ghirardini, guide de Haute Montagne, auteur discret de la première Trilogie hivernale solitaire des faces nord des Grandes Jorasses, du Cervin et de l'Eiger, avertissait la Justice de Haute Savoie des risques mortels par accidents dus à des surenchères inutiles puisque dues à des faux et usages de faux d'escrocs bénéficiant de complicités évidentes politico mafieuses et de relais dans des médias sans scrupules. La suite lui donna hélas raison et la responsabilité criminelle de la justice de haute savoie et des diverses administrations (police, gendarmerie, prefecture , ddccrf, ...) est totalement engagée.
Le « gaullisme » et la « chiraquie » ne sont pas que l’escroquerie, ils sont aussi les assassinats direct ou indirects et l’appauvrissement de la nation. Ils laissent derrière eux une plaie béante et putride. Combien de jeunes sacrifiés dans ces magouilles ! Des jeunes qui croyaient en la montagne, sport pur et propre à leurs yeux. Le « gaullisme » et la « chiraquie » sont à classer juste après le Nazisme et le Stalinisme dans les désastres dont ont été victimes des peuples européens au XXème siècle. Le "gaullisme" et la "chiraquie" sont frappés du sceau de l'infamie!
Un petit rappel pour comprendre cette escroquerie qu'est l'affaire Cesen:
1. Ivano Ghirardini est le premier alpiniste à réussir la Trilogie hivernale solitaire des trois plus célèbres face nord des Alpes (Cervin, Grandes Jorasses, Eiger) hiver 1977- 1978. En 1979 il devient conseiller technique d'Eider et Lafuma. En 1982 il résilie ses contrats et crée sa propre entreprise. Une véritable start up! En 1986, il obtient le premier prix de gestion des entreprises artisanales, achète des terrains à Chamonix. Cela crée des jalousies et des convoitises.
2. En 1987, le GMHM, l'ENSA, la Compagnie des Guides de Chamonix, les ets Ludger Simond, ...créent une première contrefaçon avec la trilogie héliportée de Christophe Profit. Les médias omettent de signaler que cette première a été réussie dix ans plus tôt par Ivano Ghirardini et répétée par le guide Tsunéo Hasegawa. Une contrefaçon est souvent une forme de manipulation. Dans ce cas des hélicoptères, des préparations de voies, des répétitions, etc...ont été utilisés.
En 1987 toujours, L'ENSA et des magazines de montagne français (Montagnes Magazine, Alpinisme et Randonnée, Vertical) nous sortent d'un chapeau la trilogie totalement imaginaire de Cesen, de nuit par mauvais temps. Le cycle des ascensions fulgurantes de l'alpiniste fantôme qui ne fait aucune photo, il ne peut pas puisqu'il ne fait rien, qui ne dit ne grimper que par mauvais temps ou de nuit (comme cela personne ne le croise ni ne le voit jamais), commence. La diffusion massive de ces désinformations dans des magazines de montagne français constitue une mise en danger de la vie d'autrui certaine. Ceux qui vont croire à ces manipulations et mensonges et qui voudront les imiter seront en danger puisque dès le départ tout est faux. l'affaire Cesen est une des pires affaire criminelle du XXe siècle ! Une trentaine au moins d'alpinistes vont mourir à cause de ces références complètement faussées. De plus s'en prendre à un schizoïde paranoïde pour le voler c'est le genre de folie caractéristique des normopathes qui se croient à l'abri puisque majoritaires à 99%. Les conséquences peuvent être suivant des vecteurs vertigineux surtout si le phénomène d'apparitions s'est produit, comme c'est le cas avec Ivano Ghirardini en 1998.
3. Ensuite, et c'était le but de ces contrefaçons, soit par trucages héliportés, soit par trucages médiatiques, il s'agissait de reproduire le modèle original d'entreprise crée par Ivano Ghirardini. Ce sera fait avec les marques "Compagnie des Guides" et "Great Escapes" et vous pouvez voir sur les publicités ci dessus qu'il est fait ouvertement référence à des exploits imaginaires comme la prétendue ascension de la face sud du Lhotse par Cesen qui est le plus gros canular ou la plus grosse escroquerie de l'histoire de l'alpinisme.
4. Il s'agit bien d'une affaire criminelle puisque les réseaux politico mafieux de la vallée de Chamonix qui sont à l'origine de ces deux contrefaçons vont utiliser dès 1987 des moyens d'état pour éliminer Ivano Ghirardini par tous les moyens, y compris des tentatives d'éliminations physiques directes. Sauf que, le fait qu'Ivano Ghirardini soit schizoïde paranoïde, il ne sera diagnostiqué ainsi qu'en 2007, est un avantage dans ce cas de situation extrême, c'est un facteur de survie certain.
"La contrefaçon constitue un phénomène en augmentation constante qui profite de la mondialisation des échanges et qui n’épargne aucun secteur de l’activité économique. La contrefaçon, quelle que soit la forme qu’elle revêt, constitue une atteinte grave portée au droit de propriété intellectuelle détenu par une personne ou une entreprise. Les conséquences de la contrefaçon sont lourdes :
Pour les entreprises
La contrefaçon entraîne des pertes de parts de marché pour les entreprises qui en sont victimes. Elle affecte également l’image de marque des produits authentiques. Les entreprises se voient, ainsi, spoliées du bénéfice de leurs efforts d'investissement, de recherche, de création de publicité et de développement commercial. "
Il s'agit du délit de risque causé à autrui. Selon l'article 223-1 du code pénal définit cette infraction comme « le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement ».
La divulgation dans les médias de reportages sur des "exploits" de façon erronée, par omission, dissimulation de la réalité, etc... a eu des conséquence mortelles dans ce domaine particulier qu'est l'alpinisme de pointe.
Par un paradoxe, mais ce n'est pas une surprise, ce sont les alpinistes qui ont cru ou croient encore à ces reportages idéalisations qui sont le plus en danger. Par exemple, Pierre Beghin croyait aux ascension de Cesen, il voulait les imiter, sauf que celles de Cesen étaient purement imaginaires alors qu'il était lui dans la réalité. Vous connaissez la suite.
CONTREFAÇONS:
Un petit rappel pour comprendre cette escroquerie qu'est l'affaire Cesen:
1. Ivano Ghirardini est le premier alpiniste à réussir la Trilogie hivernale solitaire des trois plus célèbres face nord des Alpes (Cervin, Grandes Jorasses, Eiger) hiver 1977- 1978. En 1979 il devient conseiller technique d'Eider et Lafuma. En 1982 il résilie ses contrats et crée sa propre entreprise. Une véritable start up! En 1986, il obtient le premier prix de gestion des entreprises artisanales, achète des terrains à Chamonix. Cela crée des jalousies et des convoitises.
2. En 1987, le GMHM, l'ENSA, la Compagnie des Guides de Chamonix, les ets Ludger Simond, ...créent une première contrefaçon avec la trilogie héliportée de Christophe Profit. Les médias omettent de signaler que cette première a été réussie dix ans plus tôt par Ivano Ghirardini et répétée par le guide Tsunéo Hasegawa. Une contrefaçon est souvent une forme de manipulation. Dans ce cas des hélicoptères, des préparations de voies, des répétitions, etc...ont été utilisés.
En 1987 toujours, L'ENSA et des magazines de montagne français (Montagnes Magazine, Alpinisme et Randonnée, Vertical) nous sortent d'un chapeau la trilogie totalement imaginaire de Cesen, de nuit par mauvais temps. Le cycle des ascensions fulgurantes de l'alpiniste fantôme qui ne fait aucune photo, il ne peut pas puisqu'il ne fait rien, qui ne dit ne grimper que par mauvais temps ou de nuit (comme cela personne ne le croise ni ne le voit jamais), commence. La diffusion massive de ces désinformations dans des magazines de montagne français constitue une mise en danger de la vie d'autrui certaine. Ceux qui vont croire à ces manipulations et mensonges et qui voudront les imiter seront en danger puisque dès le départ tout est faux. l'affaire Cesen est une des pires affaire criminelle du XXe siècle ! Une trentaine au moins d'alpinistes vont mourir à cause de ces références complètement faussées. De plus s'en prendre à un schizoïde paranoïde pour le voler c'est le genre de folie caractéristique des normopathes qui se croient à l'abri puisque majoritaires à 99%. Les conséquences peuvent être suivant des vecteurs vertigineux surtout si le phénomène d'apparitions s'est produit, comme c'est le cas avec Ivano Ghirardini en 1998.
3. Ensuite, et c'était le but de ces contrefaçons, soit par trucages héliportés, soit par trucages médiatiques, il s'agissait de reproduire le modèle original d'entreprise crée par Ivano Ghirardini. Ce sera fait avec les marques "Compagnie des Guides" et "Great Escapes" et vous pouvez voir sur les publicités ci dessus qu'il est fait ouvertement référence à des exploits imaginaires comme la prétendue ascension de la face sud du Lhotse par Cesen qui est le plus gros canular ou la plus grosse escroquerie de l'histoire de l'alpinisme.
4. Il s'agit bien d'une affaire criminelle puisque les réseaux politico mafieux de la vallée de Chamonix qui sont à l'origine de ces deux contrefaçons vont utiliser dès 1987 des moyens d'état pour éliminer Ivano Ghirardini par tous les moyens, y compris des tentatives d'éliminations physiques directes. Sauf que, le fait qu'Ivano Ghirardini soit schizoïde paranoïde, il ne sera diagnostiqué ainsi qu'en 2007, est un avantage dans ce cas de situation extrême, c'est un facteur de survie certain.
"La contrefaçon constitue un phénomène en augmentation constante qui profite de la mondialisation des échanges et qui n’épargne aucun secteur de l’activité économique. La contrefaçon, quelle que soit la forme qu’elle revêt, constitue une atteinte grave portée au droit de propriété intellectuelle détenu par une personne ou une entreprise. Les conséquences de la contrefaçon sont lourdes :
Pour les entreprises
La contrefaçon entraîne des pertes de parts de marché pour les entreprises qui en sont victimes. Elle affecte également l’image de marque des produits authentiques. Les entreprises se voient, ainsi, spoliées du bénéfice de leurs efforts d'investissement, de recherche, de création de publicité et de développement commercial. "
Il s'agit du délit de risque causé à autrui. Selon l'article 223-1 du code pénal définit cette infraction comme « le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement ».
La divulgation dans les médias de reportages sur des "exploits" de façon erronée, par omission, dissimulation de la réalité, etc... a eu des conséquence mortelles dans ce domaine particulier qu'est l'alpinisme de pointe.
Par un paradoxe, mais ce n'est pas une surprise, ce sont les alpinistes qui ont cru ou croient encore à ces reportages idéalisations qui sont le plus en danger. Par exemple, Pierre Beghin croyait aux ascension de Cesen, il voulait les imiter, sauf que celles de Cesen étaient purement imaginaires alors qu'il était lui dans la réalité. Vous connaissez la suite.
L'ENQUÊTE DE LA JUSTICE SLOVÈNE:
ANNEE 1993
LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);
CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!
1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."
Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "
3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."
4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).
5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."
3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:
"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "
Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "
4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.
5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.
Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."
6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .
Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.
Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .
ANNEE 1990/91
LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!
(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!
1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "
Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."
Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
( lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."
UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE:
TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE.
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.
En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:
6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.
Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.
Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993
LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);
CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!
1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."
Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "
3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."
4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).
5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."
3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:
"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "
Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "
4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.
5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.
Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."
6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .
Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.
Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .
ANNEE 1990/91
LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!
(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!
1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "
Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."
Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
( lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."
UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE:
TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE.
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.
En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:
6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.
Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.
Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993
L'usurpation par Cesen des photos de Vicky Groselj !
Il n'existe aucune preuve des ascensions de Tomo Cesen et il a menti ouvertement dans le magazine Vertical (éditions glénat) en publiant sous son nom des photos appartenant à Vicky Groselj
Dès 1987, Ivano Ghirardini a contesté les prétendues réalisations rapportées dans les médias au vu des totales incohérences et invraisemblances des récits. Cesen a prétendu avoir fait une photo du sommet du Lhotse en 1990 en direction de la Combe Ouest. La photo "preuve" rapportée par Cesen est en fait une photo réalisée par l'alpiniste Slovène Vicky Groselj lors d'une expédition slovène antérieure sur le versant nord ouest. La Justice slovène a reconnu cette falsification et le caractère mensonger des déclarations de Cesen.
Cesen n'a donc plus aucune crédibilité!
Ok mais la publication par le magazine Vertical de photos "tomo cesen" à l'envers, en fait des photos appartenant à Vicky Grosselj, un autre alpiniste slovène et provenant d'expéditions slovènes antérieures constitue bien la preuve d'une manipulation. Ce magazine Vertical a été publié et il a servi de base à l'enquête de la justice slovène.
Vicky Groselj a quant à lui publié un livre avec SES photos et il est facile de voir que les photos originales lui appartiennent.
Photos Vicky Groselj, expédition Lhotse 1981
La photo originale de Vicky Groselj depuis le sommet du Lhotse et subtilisée par Cesen
Photos Vicky Groselj, expédition Lhotse 1981
La photo originale de Vicky Groselj depuis le sommet du Lhotse et subtilisée par Cesen
Voilà, il est important que cela soit dit, c'est une question de sécurité. Des références faussées peuvent conduire à des drames en montagne.
La lettre adressée par Vicky Groselj au magazine Vertical des éditions Glénat le 9 septembre 1993, après la découverte que des photos dont il est le propriétaire, subtilisées par Tomo Cesen, avaient été publiées sans son accord avec la mention "Tomo Cesen", dans le magazine Vertical N° 28, page 61.
Destinataire: VERTICAL Boîte Postale 177 6, rue de Lieutenant Chanaron F-38008 GRENOBLE Cedex Attn. de M. Asselin
Ljubljana, le 9 septembre 1993
Monsieur,
Je vous prie de publier ma réponse à votre article intitule ''DU RIFIFI EN SLOVENIE", publie" dans le Vertical No. 59 du juin 1993, Là, vous avez interprété l'assertion de Tomo Cesen ayant mentionné ma préoccupation avec les grosses expéditions officielles du Club Alpin Slovène ainsi que son critique de celles-ci. Pour cette raison il y aurait une véritable cabale contre lui en Slovénie, ce qui n'est pas vrai.
Je favorise tous les objectifs vedettes, supérieurs et intéressants des alpinistes Slovènes dans toutes les montagnes du monde, soit les ascensions du type classique, de poche ou en solo.
Les déclarations de Cesen sur les cabales contre lui ne sont que son désir à dévier l'attention et à obscurcir les faits se référant à son argumentation malhonnête de son ascension a Lhotse ainsi qu'à son fourvoiement intentionnel du public mondial.
Comme vous le savez bien, il a fait preuve de son ascension sur Lhotse dans le Vertical No. 28 en utilisant mes photos. Il a pris ma photo de la combe ouest de l'Everest, que j'avais prise dans la face ouest du Lhotse à environ 8.350 m, pour vous la présenter comme sa photo depuis le sommet du Lhotse et comme la preuve clé' de son ascension par la -face sud.
Il a même fait référence à cette photo dans sa lettre à M. Ghiraradini, publiée dans le Vertical No. 32 en 1991.
Avant que Cesen soit parti dans la face sud du Lhotse nous avons ensemble examiné toutes mes diapositives provenant de notre expédition dans la face sud du Lhotse en 1981, ainsi que celles de mon ascension par le côté ouest en 1989 dont Cesen pourrait se servir pour son éventuelle descente.
Quelques jours après son retour du Lhotse, Cesen a emprunté chez ma femme (moi, j'étais alors en Russie) mes diapositives du Lhotse disant qu'il voudrait les montrer à ses mécènes en Italie pour leur montrer où il avait été et qu'il n'avait pas les siennes. Il les a retournées dans quelques jours. Naturellement, les diapositives ne lui ont pas été prêtées avec l'intention pour qu'il se présente comme leur auteur.
Le fait de ne pas posséder de photos depuis le Lhotse, parce qu'il na pas photographié, a été publiquement exprimé par Cesen immédiatement après son retour en Slovénie. J'étais parmi ceux qui ont eu confiance en lui et lui ont cru à son mot.
En février de cette année M. Skarja m'a demandé à lui aider avec la préparation de l'exposition des livres et revues nationales et étrangères sur les réussites des alpinistes Slovènes. Alors j'ai par hasard pris en mes mains le Vertical No. 28 ou j'ai découvert à mon surprise que Cesen avait pris ma photo pour authentifier son ascension.
Malgré ma découverte ultérieure d'autres faits, articles et lettres publiques de Cesen, où il a invoqué ma photo, Cesen a attribué le tort relatif à la publication de mes deux photos dans votre revue avec lui reconnu comme auteur et pour justifier son ascension, à vous et à l'erreur éditoriale. C'est ce qu'il avait aussi écrit dans sa lettre publique publiée dans plusieurs journaux Slovènes le 2 avril 1993.
Je ne me suis adressé à vous que pour obtenir votre explication sur ce qu'il avait dit. Vous m'avez répondu qu'il ne vous avait jamais mentionné moi comme auteur des dites photographies.
Comme publié dans le Vertical du juin dernier, Cesen vous a donne les copies en vous disant que les originaux de ces photos lui étaient volés a Milan. Ces originaux se trouvaient chez moi d'ailleurs, et s'y trouvent encore.
Je favorise tous les objectifs vedettes, supérieurs et intéressants des alpinistes Slovènes dans toutes les montagnes du monde, soit les ascensions du type classique, de poche ou en solo.
Les déclarations de Cesen sur les cabales contre lui ne sont que son désir à dévier l'attention et à obscurcir les faits se référant à son argumentation malhonnête de son ascension a Lhotse ainsi qu'à son fourvoiement intentionnel du public mondial.
Comme vous le savez bien, il a fait preuve de son ascension sur Lhotse dans le Vertical No. 28 en utilisant mes photos. Il a pris ma photo de la combe ouest de l'Everest, que j'avais prise dans la face ouest du Lhotse à environ 8.350 m, pour vous la présenter comme sa photo depuis le sommet du Lhotse et comme la preuve clé' de son ascension par la -face sud.
Il a même fait référence à cette photo dans sa lettre à M. Ghiraradini, publiée dans le Vertical No. 32 en 1991.
Avant que Cesen soit parti dans la face sud du Lhotse nous avons ensemble examiné toutes mes diapositives provenant de notre expédition dans la face sud du Lhotse en 1981, ainsi que celles de mon ascension par le côté ouest en 1989 dont Cesen pourrait se servir pour son éventuelle descente.
Quelques jours après son retour du Lhotse, Cesen a emprunté chez ma femme (moi, j'étais alors en Russie) mes diapositives du Lhotse disant qu'il voudrait les montrer à ses mécènes en Italie pour leur montrer où il avait été et qu'il n'avait pas les siennes. Il les a retournées dans quelques jours. Naturellement, les diapositives ne lui ont pas été prêtées avec l'intention pour qu'il se présente comme leur auteur.
Le fait de ne pas posséder de photos depuis le Lhotse, parce qu'il na pas photographié, a été publiquement exprimé par Cesen immédiatement après son retour en Slovénie. J'étais parmi ceux qui ont eu confiance en lui et lui ont cru à son mot.
En février de cette année M. Skarja m'a demandé à lui aider avec la préparation de l'exposition des livres et revues nationales et étrangères sur les réussites des alpinistes Slovènes. Alors j'ai par hasard pris en mes mains le Vertical No. 28 ou j'ai découvert à mon surprise que Cesen avait pris ma photo pour authentifier son ascension.
Malgré ma découverte ultérieure d'autres faits, articles et lettres publiques de Cesen, où il a invoqué ma photo, Cesen a attribué le tort relatif à la publication de mes deux photos dans votre revue avec lui reconnu comme auteur et pour justifier son ascension, à vous et à l'erreur éditoriale. C'est ce qu'il avait aussi écrit dans sa lettre publique publiée dans plusieurs journaux Slovènes le 2 avril 1993.
Je ne me suis adressé à vous que pour obtenir votre explication sur ce qu'il avait dit. Vous m'avez répondu qu'il ne vous avait jamais mentionné moi comme auteur des dites photographies.
Comme publié dans le Vertical du juin dernier, Cesen vous a donne les copies en vous disant que les originaux de ces photos lui étaient volés a Milan. Ces originaux se trouvaient chez moi d'ailleurs, et s'y trouvent encore.
Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments les meilleurs
VIKY GROSELJ
1-Les photos publiés sur Vertical
2-la photo originale de Vicky Groselj réalisée le 30 avril 1989 à 8300m d'altitude au Lhotse, versant Ouest ! On peut voir la supercherie facilement, puisque sur Vertical les photos de Vicky Groselj sont publiées à l'envers avec la mention photos Tomo Cesen