Monday, November 06, 2006

1986-1988 et depuis 1993 , les actes de terrorisme administratif ont un label: la chiraquie








Pour ceux qui n'auraient toujours pas compris que la "chiraquie " fait ce qu'elle veut dans le 74 et que la gauche lorsqu'elle était au pouvoir n'en a pas branlé une pour démanteler des réseaux mafieux, voici ci joint une lettre adressée le 15 février 2001 à la scp Ballaloud Alladel, mais aussi à Madame la Juge Rachoud, Au Procureur de Bonneville, au Procureur Général à Chambery, à la Préfecture de Haute Savoie, à la Commission Européenne des Droits de l'Homme, au Président de l'Assemblée Nationale, ..... Bref une trentaine de copies adressées un peu partout.
Pourquoi?
"Nous avons déposé plainte à l'encontre de votre cabinet d'avocats pour pratiques mafieuses pouvant aller jusqu'au meurtre".
C'est depuis 1986 que nous avons du supporter les magaouilles criminelles du Ballaloud, depuis 1986, que nous portons plainte sans jamais aucune suite, sauf des actes de terrorisme administratif, des voitures détruites, de bâtiments démolis, ....bref, là encore rien que du mafieux en retour, mais la justice, la protection des biens et des personnes, jamais.
Ballaloud c'est l'avocat de Xavier Flactif.
Le quintuple meurtre était facilement évitable en cherchant parmi les clients ou adversaires de ce cabinet d'avocats du gang des robes noires ceux qui subissaient exactement les mêmes choses que je subissais. Le Ballaloud agit toujours pareil et pourquoi changer des stratégies qui marchent surtout avec police, gendarmerie, procureurs, politiques, juges, impôts, urssaf, organic, ... dans la poche, sans compter les hommes de main.
Dès 1986, ce fut pour moi, troubles de voisinages, menaces, incitation à la bagarre, intimidations sur la famille et destructions de biens, et en plus le terrorisme administratif. Xavier Flactif a du en passer par là et n'a pas su éviter le drame. Moi, je suis guide de haute montagne, le danger c'est mon élément.
Dès 1986, juste après la première visite des gendarmes, où ma voisine portugaise qui bossait (avec ou sans culotte ?) pour la police portait sans arrêt plainte pour des troubles de voisinage qu'elle provoquait délibérément, j'ai su que j'étais en danger de mort.
Fallait jouer malin dans une ripoublique corrompue jusqu'à la moelle pour survivre. Plus dur que la trilogie solitaire hivernale des grandes faces nord des Alpes. Là j'avais affaire à des tueurs qui eux ne risquaient absolument rien. Ils pourraient toujours faire passer cela pour un accident. Je n'avais aucune chance de sauver l'entreprise que je venais de créer, ni mes biens. Les nettoyeurs du 74 savent y faire avec la complicité du gang des robes noires.
Le pauvre xavier flactif, sa femme et ses gamins n'ont pas eu cette chance. Moi j'aurais du y rester dès 1987 ou 1988, mais ma femme et le gosse ont compris et sont partis en 1986 et dans mon cas, ce fut juste la perte de quelques bouts de doigts dans un accident du travail en 1988. Le premier stade est le plus dur à passer.
Après c'est du jeu du chat et de la souris et c'est du meurtre à petit feu. Comme les microbes, on s'habitue à cette criminalité avec des moyens d'état. Plus rien ne vous touche. Ni les procès, ni la prison, ni le blocage de vos comptes, ni la saisie d'un RMI ou les interdictions d'exercer pour vous priver de toute subsistance. Non plus rien ne vous touche. Venant de ses saloperies immondes, ses assassins de gamins, ses escrocs, cela vous glisse dessus.
Voilà, nous ne sommes plus dans des fictions, mais dans des histoires vécues pire que des fictions.