Monday, November 06, 2006

Ghirardini ou le jugement de Dieu


A Chamonix les élections se gagnent en assassinant des guides indépendants!

La publicité pour les boutiques appartenant à Ivano Ghirardini, dans l'article du Daubé, le journal du coin, copie ci contre, c'était juste pour faire marner la pègre chamoniarde et les ripoux à son service dans le 74 (Haute Savoie). La liquidation réelle de cette entreprise remonte à 1986, dès les premiers actes mafieux du réseau Ballaloud.

Cela avait commencé par des troubles de voisinage, commandités par la Police de L'Air et des Frontières, via un couple de portugais indicateurs de Police, Monsieur et Madame Moreira et des provocations à la bagarre, où Ivano Ghirardini aurait été le seul lourdement condamné s'il avait réagi. C'est de cette façon que sera éliminé l'alpiniste surdoué Fred Vimal, une simple altercation au départ.

Ballaloud yves était l'avocat de Xavier Flactif, le quintuple meurtre du Grand Bornand, avec au tout début de simples troubles de voisinage. Ce sont en fait de véritables tentatives d'assassinat si des juges corrompus vous attendent avec un fusil judiciaire pour éliminer l'intrus, l'étranger, l'aliénus en latin, celui qui dérange dans cette vallée politico mafieuse de Chamonix ou celui qui possède des biens à voler ou capter par spoliation. Les troubles de voisinage ne sont que le lever de rideau, suivent les calomnies, les intimidations, les destructions de biens, les contrôles à répétition et cela peut aller jusqu'au bûcher sous les sapins, comme l'a montré l'affaire Flactif.

Face à des moyens d'état, vous n'avez que peu de chance de pouvoir survivre. Cette forme de criminalité devrait être passible de procédures pour crimes contre l'humanité. Le préjudice qui m'a été causé s'élève à xxx millions d'euros, non compris les frais. La responsabilité de la Ripoublique est engagée à 100%. Cette publicité est comme un bras d'honneur et une façon de dire: "Je suis encore debout, ici et maintenant, et je vous ...." En fait, il existe un paradoxe, ce qui a permis à Ivano Ghirardini de survivre dans une situation aussi extrême, c'est sa schizophrénie de type schizoïde paranoïde. Dès les premiers dangers, un mécanisme de psychose se déclenche et c'est un facteur de survie.

Rappelons le cadre de départ de cette histoire : Après la réussite d'Ivano Ghirardini, au cours de l'hiver 77-78, de la première trilogie hivernale solitaire des trois plus grandes faces nord des Alpes (Cervin, Grandes Jorasses, Eiger), il avait exercé comme guide indépendant à Chamonix, dans ce qui était un superbe bureau indépendant, avec les frères Afanassief, Gilles et Patrice Bodin, Patrick Cordier, etc...L'association indépendante des Guides du Mont Blanc avait des clients remarquables et ce bureau déplaisait fortement à la Compagnie des Guides, qui cherchait à le "liquider". En sus, Ivano Ghirardini était conseiller technique de grandes marques comme Eider, Lafuma, Galibier. En 1982, il avait crée sa propre entreprise. Le succès fut rapide.

C'est vers 1986 que La Compagnie des Guides de Chamonix qui est aussi un des principaux pourvoyeur de travail illégal des fonctionnaires (cumul prohibé public-privé) se décide à une contrefaçon avec l'aide du GMHM, de l'ENSA, des moyens médiatiques et financiers des réseaux RPR (UMP aujourd'hui). Ils réussissent après toutes sortes de préparations des voies, de reconnaissances, d'assistances, d'héliportages, à aller plus vite et à "enchainer" avec Christophe Profit. Le vol manifeste commence à ce moment là. Aucun média ne parle du fait que deux guides, Tsunéo Hasegawa et Ivano Ghirardini, ont fait cette première Trilogie dix ans plus tôt.

Les escrocs de Chamonix font une "première" en oubliant les prédécesseurs. Ils n'en ont que faire, leurs médias font dans le sensationnel et l'omission volontaire. Ils auraient pu s'arrêter là, mais la présence à Chamonix d'Ivano Ghirardini, comme original, témoin de ce vol, victime de ce vol était gênante. Il fallait donc l'éliminer par tous les moyens, y compris par un assassinat maquillé en accident. Ce n'est en rien une exagération, c'est la réalité.

Dès 1986 (début des trilogies de Profit, estivales d'abord), l'administration française aux ordres du pouvoir "Gaulliste" se déchaine. Technique du meurtre à petit feu, pour user, casser, contrôles après contrôles, avec chaque fois plus de malhonnêteté et de malveillance, pour vous éliminer définitivement. C'est terrifiant et très efficace. Mais comme Ivano Ghirardini résiste, comme le filon semble juteux, L'ENSA, Stolzenberg Daniel, les éditions Glénat, quelques fabricants, jugèrent bon de lancer ce qui cette fois est une pure escroquerie, l'affaire Cesen, celle du slovène qui n'a pas fait le dixième de ce qu'il raconte avoir fait. Pas un mytho, non, un pur escroc. Face aux critiques et contestations, aux plaintes d'Ivano Ghirardini, Glénat a hurle haut et fort que c'est par jalousie et que tout était vrai dans Cesen. Sauf que quatre années plus tard, un autre alpiniste slovène, Vicky Grosselj s'aperçoit qu'il s'est fait voler les photos de ses propres expéditions par l'escroc Cesen, qui les a publiées sous son nom à l'envers chez Glénat, en espérant que personne ne s'aperçoive de cela. C'est dans ce climat pourri par les voleurs, les contrefacteurs et les escrocs de Chamonix, qu'à lieu ce
"jugement de Dieu"
.

sur Wiki: "L'ordalie est un ancien mode de preuve en justice, de nature religieuse, aussi appelé jugement de Dieu. Il consiste à soumettre les plaidants à une épreuve dont l'issue déterminée par Dieu désigne la personne bien fondée."

Rêve Ephémère, Le récit d' Ivano Ghirardini :

En 1994, les Slovènes me lancent un défi avec leur meilleur alpiniste du moment Miroslav Sveticic dit "Slavko". Ils sont au courant des magouilles des ripoux du 74 et de la condamnation de totale complaisance prise par le TGI de Bonneville à 4 mois de prison avec sursis, sur un faux habituel de la ripoupègre locale qui elle n'est jamais inquiétée, cela va de soit. Les contrôles administratifs sont encore plus pourris avec le retour de la chiraquie au pouvoir en 1993. de 1986 à 2002, date de mon départ définitif de Chamonix, vallée mafieuse RPR-UMP, j'aurais pris dans la tronche plus de 40 contrôles administratifs, plus de 200 procès ou convocations devant les juges, plus de 2000 actes d'huissiers, des biens détruits, des vols, des cambriolages, des ripoux qui essayaient de provoquer des bagarres, des bâtiments détruits, etc, etc... Et tout ce que je dis là, c'est LA RÉALITÉ!

Aucune préparation donc, sauf peut être ce renforcement moral que donne toutes ces épreuves. Merci les ripoux ! De la mentale pure. Et aussi des aides mystérieuses venues de l'Invisible....

Slavko est hyper affûté, il vient de se balader dans la goulotte entre la Walker et la Whymper en quelques heures. Il est allé boire un verre à Courmayeur et est remonté par le col des Jorasses pioncer à Canzio. C'est dire toute la classe du bonhomme. Une vrai force de la nature. Un grimpeur en rocher et en glace qui ressemble plus à un extraterrestre qu'à un humain tant il est phénoménal. Pourtant j'en ai vu des costauds, mais là c'est plus fort que tout ce que j'avais vu. A son palmarès, on note qu' il est l'auteur d'une première en solo hivernal de la directe Harling à l'Eiger en moins de 24 h. Marmier et son team GMHM, payé par le contribuable français pour prendre des vacances avait mis plus de trois semaines.

Slavko Svéticic, un Alpiniste d'exception !


Et voilà que Slavko me propose de tenter la première de la goulotte entre la Marguerite et la Young. Lafaille et Twight s'y sont cassé les dents. Une horreur probable au bout de trois cent mètres avec un peu de neige et de glace sur des piles d'assiettes. Cela sent le piège à plein nez, mais bon, ....

"T'es pas fou Slavko, cela fait des années que je ne fait presque plus rien. Je ne suis ni entrainé, ni acclimaté. Je passe d'un procès, une condamnation, un contrôle de police, un contrôle fiscal, un contrôle d'urssaf à l'autre. C'est mon seul entrainement. Il est juste moral. Juste le plaisir de me foutre de la gueule de ses saloperies à la solde de la pègre, ces rats de petits fonctionnaires minables. Je fais semblant de trembler, mais dans ma tête je leur dit à ces raclures que s'ils croient que je vais me suicider ou partir, il peuvent toujours se le mettre ou je pense".

Slavko ne compris rien à mon français mais juste l'essentiel:
"C'est pas grave, t'as l'expérience".

Bref, il me proposait rien moins que l'épreuve du jugement de Dieu. Une grimpe à mort. Le premier qui se dégonflerait serait le perdant.
"Après tout, pourquoi pas ? me suis je dit dans ma tête. J'ai toujours su que quelque chose me protégeait. Autant voir si cette chose est toujours là. Et puis, à mourir, autant que ce soit en montagne que dans un bûcher sous les sapins, comme avec ce monstre hydrocéphale de Ballaloud.
-Ok, on y va, mais ne sort pas le turbo dès le début, sans aucun entraînement, je vais carboniser dès la rimaye.
-Ok fit Slavko, on fera en réversible comme cela tu pourras monter à ton rythme. "

Et nous sommes partis de Chamonix pour Leschaux. Ma copine la "Titinette" avait une confiance aveugle. Au moins une en qui croyait en moi.

Le lendemain , vers une heure du matin, juste le temps de boire un café et le turbo hyper compréssé de Slavko ronflait comme une ferrari V12. Peut-être voulait-il se boire sa bière à Courmayeur avant midi. C'est sur, j'allais exploser. Heureusement la chance était avec moi. Dès les premières longueurs, il fallait se rendre à l'évidence, les conditions étaient épouvantables. Mais bon, avec un gars comme Slavko, pas de problème, un seul piton au relais et rien sur toute la longueur! Je commençais à me marrer un peu. Le premier qui fait une connerie, il arrache tout et on va tous les deux en bas. Mais l'Hyperturbo semblait en totale confiance et ne comprenait pas pourquoi chaque fois que c'était mon tour de passer en tête, je rajoutais quelques protections dans les passages "douteux". Et puis on s'y fait. De toute façon, tous les pas étaient douteux. Si pour Terray, plus il montait dans l'Eiger, plus "la paroi déjà verticale se redressait encore" , dans notre cas, plus on montait et plus s'était craignos. C'est là que je pu admirer la classe incroyable de ce diable de Slavko. Il se décidait enfin à pitonner un peu, ce qui voulait dire qu'il n'était plus en ballade.

Et la glace vint à manquer. Plus que des cailloux instables à plus de 70 degrés, des blocs qui ne demandaient qu'à partir dans le vide. Il fallait se rendre à l'évidence une fois de plus, jamais nous ne passerions le ressaut juste au dessus de nous. Deux longueurs infaisables, sauf à se rompre le cou. Et cela nous obligea à sortir de la goulotte. J'étais mort de soif et de fatigue. Slavko prépara un café. Nous le bûmes rapidement et à ma grande surprise, il me dit ciao. L'hyper Turbo avait remis la post combustion en route. Impressionnant. Il monta au sommet de l'antécime de la pointe young et redescendit dormir à Canzio.

J'étais comme un con sur l'éperon. C'est lui qui avait le réchaud, une corde, et du matos. Je lui avait fait part de mon intention de bivouaquer, de contourner les deux longueurs infaisables et de reprendre la goulotte juste au dessus. Et il m'avait planté là et j'ai dit merde. Un peu d'eau coulait sur les rochers. assez pour boire. Un bon saucisson et un peu de pain. Royal quoi! Je triais le matos et avec juste une corde de 50 m en 9mm, quelques clous, coinceurs et mousquetons, fallait pas que je tombe sur du trop dur. Et si cela ne passait pas ? Si c'est Slavko qui avait vu juste en renonçant ? Merde, Merde et merde ! J'ai allumé ma pipe et j'ai fumé paisible toute la nuit. Si j'étais légé en tout, comme le capitaine hadocq dans Tintin au Tibet, je ne manquais pas de tabac. J'étais con, j'aurais du apporter aussi du cognac. Cela aurait été un vrai palace. Un bivouac en face nord des Jorasses, c'est toujours le top. Faut pas les gâcher ces moments.
Le lendemain, les dés furent jetés d'entrée. Je me suis retrouvé dans la goulotte après un rappel un peu craignos et ce fut la merveille des merveilles. Autant la veille ce n'avait été qu'une escalade dangereuse, autant ce fut le plaisir le plus absolu. Jamais difficile. Jamais plus dur que du V, jamais trop raide. une vue fantastique sur la voie Couzy Desmaison juste à coté. Que du Bonheur! L'arrivée à la Brèche fut un enchantement. Enfin du super granite, des fissures franches. Il avait fallut faire 850m pour les trouver.
Lorsque j'arrivais à Canzio dans l'après midi, Slavko était parti depuis longtemps. Moi j'étais trop bien. Un moment de paix avant de retourner dans l'enfer des chiens de ripoux et des mafieux charognards.
"putain, ici au moins, il viennent pas m'emmerder".

Et j'ai encore fumé cet horrible tabac noir qui vous arrache la gueule en admirant les étoiles. Je me suis marré en pensant à Titinette. Elle ne comprend pas que je puisse aimer des tabacs aussi infects.

"plus c'est fort, plus j'aime".

Photos et tracé de l'itinéraire:
-En rouge, la partie commune réalisée par la cordée Sveticic -Ghirardini
-En bleu, la sortie à l'antécime de la Pointe Young par Slavko Sveticic
-En orange, la partie terminale de la goulotte "Rêve Ephémère", qui sort à la brèche entre les pointes Marguerite et Young, réalisée en solitaire par Ivano Ghirardini, après un bivouac pour attendre le regel.

Cette cordée qui se sépare en pleine paroi, avec deux escalades solitaires pour finir, suivant deux voies différentes fait penser à l'explosion de la navette Challenger, avec ses deux gros boosters qui continuaient à monter dans le ciel en se séparant! Seul Ivano Ghirardini reste sur ce qui était le projet initial, la goulotte entre les pointes Marguerite et Young. Le contournement du ressaut impraticable (deux longueurs) était inévitable !
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Epilogue:

La pègre chamoniarde et les ripoux 74:
-Ghirardini, il grimpe encore, malgré tout ce qu'on lui a fait depuis 1986. Il est temps d'en remettre une couche et de reprendre le travail de démolition. Ce n'est qu'une question de patience, même s'il a la peau dure.

Résultat: 18 mois de prison dont 4 fermes au lieu des 4 avec sursis prévus au début + 8 mois fermes supplémentaires à la soit disant demande de mon ex.

-Si après cela il grimpe encore, on verra.

La pègre chamoniarde et les ripoux 74:
-Ghirardini grimpe toujours, il a ouvert une voie nouvelle à la pointe Durier avec des clients, classée ED!
-Oui, et puis il a réussit la Walker avec un client pendant que Profit perdait le sien au Tacul. Il se fout de nous, c'est pas possible.
-Il faut demander au TGI de Bonneville de le liquider définitivement, cela ne peut plus durer!"

L'Ange:
-Il est temps d'intervenir et de protéger ce guide contre les malfrats du 74, les sordides ripou fonctionnaires de Haute Savoie et toute cette racaille au service de la bête 74 !

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A l'attention des alpinistes qui voudraient refaire Rêve Ephémère:
1. La voie est la goulotte entre les pointes Marguerite et Young et sort à la brèche entre les deux pointes.
2. Il manque un ressaut de deux longueurs qui n'a pas pu être fait lors de la première ascension car il était impraticable.
3. La fin de la goulotte est vraiment très belle et l'ascension est plus coté Marguerite que Young.
4. La disparition de la goulotte d'où le nom Rêve Ephémère a été due aux fortes chaleurs.

1986-1988 et depuis 1993 , les actes de terrorisme administratif ont un label: la chiraquie








Pour ceux qui n'auraient toujours pas compris que la "chiraquie " fait ce qu'elle veut dans le 74 et que la gauche lorsqu'elle était au pouvoir n'en a pas branlé une pour démanteler des réseaux mafieux, voici ci joint une lettre adressée le 15 février 2001 à la scp Ballaloud Alladel, mais aussi à Madame la Juge Rachoud, Au Procureur de Bonneville, au Procureur Général à Chambery, à la Préfecture de Haute Savoie, à la Commission Européenne des Droits de l'Homme, au Président de l'Assemblée Nationale, ..... Bref une trentaine de copies adressées un peu partout.
Pourquoi?
"Nous avons déposé plainte à l'encontre de votre cabinet d'avocats pour pratiques mafieuses pouvant aller jusqu'au meurtre".
C'est depuis 1986 que nous avons du supporter les magaouilles criminelles du Ballaloud, depuis 1986, que nous portons plainte sans jamais aucune suite, sauf des actes de terrorisme administratif, des voitures détruites, de bâtiments démolis, ....bref, là encore rien que du mafieux en retour, mais la justice, la protection des biens et des personnes, jamais.
Ballaloud c'est l'avocat de Xavier Flactif.
Le quintuple meurtre était facilement évitable en cherchant parmi les clients ou adversaires de ce cabinet d'avocats du gang des robes noires ceux qui subissaient exactement les mêmes choses que je subissais. Le Ballaloud agit toujours pareil et pourquoi changer des stratégies qui marchent surtout avec police, gendarmerie, procureurs, politiques, juges, impôts, urssaf, organic, ... dans la poche, sans compter les hommes de main.
Dès 1986, ce fut pour moi, troubles de voisinages, menaces, incitation à la bagarre, intimidations sur la famille et destructions de biens, et en plus le terrorisme administratif. Xavier Flactif a du en passer par là et n'a pas su éviter le drame. Moi, je suis guide de haute montagne, le danger c'est mon élément.
Dès 1986, juste après la première visite des gendarmes, où ma voisine portugaise qui bossait (avec ou sans culotte ?) pour la police portait sans arrêt plainte pour des troubles de voisinage qu'elle provoquait délibérément, j'ai su que j'étais en danger de mort.
Fallait jouer malin dans une ripoublique corrompue jusqu'à la moelle pour survivre. Plus dur que la trilogie solitaire hivernale des grandes faces nord des Alpes. Là j'avais affaire à des tueurs qui eux ne risquaient absolument rien. Ils pourraient toujours faire passer cela pour un accident. Je n'avais aucune chance de sauver l'entreprise que je venais de créer, ni mes biens. Les nettoyeurs du 74 savent y faire avec la complicité du gang des robes noires.
Le pauvre xavier flactif, sa femme et ses gamins n'ont pas eu cette chance. Moi j'aurais du y rester dès 1987 ou 1988, mais ma femme et le gosse ont compris et sont partis en 1986 et dans mon cas, ce fut juste la perte de quelques bouts de doigts dans un accident du travail en 1988. Le premier stade est le plus dur à passer.
Après c'est du jeu du chat et de la souris et c'est du meurtre à petit feu. Comme les microbes, on s'habitue à cette criminalité avec des moyens d'état. Plus rien ne vous touche. Ni les procès, ni la prison, ni le blocage de vos comptes, ni la saisie d'un RMI ou les interdictions d'exercer pour vous priver de toute subsistance. Non plus rien ne vous touche. Venant de ses saloperies immondes, ses assassins de gamins, ses escrocs, cela vous glisse dessus.
Voilà, nous ne sommes plus dans des fictions, mais dans des histoires vécues pire que des fictions.

Ghirardini, une entreprise artisanale à éliminer de Chamonix !


Le premier prix de gestion des entreprises artisanales de Haute Savoie, qui récompense l'entreprise de moins de 10 salariés qui obtient les meilleurs résultat fut remis le 5 février 1987 à Annecy. Que s'est-il passé en 1987 ? Où sont les substitutions avec un : "pousse toi de là que l'on s'y mette "?
On nous dit que la justice doit juger d'après les faits. Mais encore il faudrait que le mot JUSTICE puisse avoir un quelconque sens en Haute Savoie mafieuse.

Juste après la remise de ce prix, ce fût 7 contrôles administratifs, tous plus malhonnêtes et malveillants les uns que les autres, commandités par la chiraquie au pouvoir. Nettoyer la zone! Pouah! une entreprise crée en 1982 pendant la gauche ne doit pas survivre à Chamonix. Allez du balais.

Les fonctionnaires seront des vrais chiens dressés à mordre et à bâtir des faux. pendant ce temps, le réseau mafieux Ballaloud s'impliquait dans ses magouilles habituelles des troubles de voisinnage, des incitations à la bagarre (avec un flic en civil pour témoigner au cas où), des déstabilisations des personnes en toute impunité. C'est jamais les gendarmes ou la police qui ont jamais fait la moindre enquête sur ce réseau qui a certainement commis plus de crimes que ceux qui sont devenus visibles de trop.

Vous ne trouvez pas bizarre que cela corresponde avec des hyper moyens médiatiques pour nous bidonner de la trilogie héliportée et hyper préparée. Allons les gamins, ne vous laissez pas prendre à ce jeu si vous n'avez pas les moyens d'état derrière (PG, GMHM, ENSA, médias, ...). Si vous voulez vous faire plaisir en refaisant cette trilogie, restez réalistes et faites avec vos moyens à vous. Est-ce pour cela que Fred Vimal, le surdoué, gênait tant? Lui il faisait encore mieux et sans aucune aide ni prépa extérieure, sans hélicos. Un dangereux alpiniste pour la pègre et qui risquait de casser leur business?

Bref, en juin 1988 ce sera l'accident du travail pour Ivano Ghirardini juste 20 mn après avoir reçu une sommation de l'Urssaf pour des sommes non dues. Mais les ripoux s'en foutent complètement, ce qu'ils veulent c'est déstabiliser. Bravo, ils ont réussit leur coup cette fois là. Amputation de doigts à la main gauche pour un guide.

Affronter la pègre de Chamonix et les ripoux de l'administration française est plus dangereux que d'escalader les Grandes Jorasses par la face nord. Ce n'est plus de services publics qu'il faut parler, mais d'association de malfaiteurs.

La D.D.C.C.R.F. complice de la pègre 74


Pourquoi voulez vous que Jacques Glénat, les journalistes de Vertical, Cesen, et les politico mafieux du 74 et de Chamonix s'en fassent ?

Ils peuvent vraiment dormir tranquille. L'administration est aux ordres et totalement servile.

Le respect de la loi, c'est pour les autres et s'ils ne sont pas en tords, les ripoux du 74 c'est fait pour bâtir des faux et les ripoux juges, c'est fait pour condamner sur des faux.

C'est pour cela que la chiraquie est prête à tout pour rester au pouvoir ou le conquérir. Les nettoyages de zones cela sert à remplir les caisses.

la spoliation Ghirardini, une belle affaire juteuse pour le réseau Ballaloud. Aucun risques. Une administration française complice et bien obéissante. Le moindre fonctionnaire qui voudrait dire quoi que ce soit, est immédiatement prié d'aller se faire voir ailleurs à chaque passage de la droite au pouvoir. Du docile et du servile, c'est bon pour les business minables des pègres locales et le 74 est un peu un coffre fort pour le pseudo gaullisme, une zone qui doit rester sûre.

Sunday, November 05, 2006

La trilogie et le rêve trop loin de Lionel Daudet.


Quel dommage que cet échec au Cervin, quel dommage que cet échec dans cette trilogie des directissimes qu'il pouvait plus que largement réaliser. Mais c'est pour cela que je hurle depuis la trilogie de Profit. Ne suis donc que le seul à voir le problème ? L'alpinisme français est-il à ce point devenu aveugle ?


DES REFERENCES SONT FAUSSEES PARCEQUE DES VERITES N'ONT PAS ETE DITES ET QUE DES MEDIAS "CRETINS" ONT FAIT DANS LA DESINFORMATION.


Les "trois derniers problèmes des Alpes" ont été l'enjeu majeur des années 1930 pour les meilleurs alpinistes du monde. Combien y ont perdu la vie pour des sous évaluations ? Oubliez vous cette quarantaine de morts à l'Eiger, touchant souvent de forts rochassiers perdus dans une face pleine de pièges et plus glaciaire qu'autre chose?


Après la guerre, les répétitions réussies par des français comme Terray, Lachenal, Rébuffat montrèrent que ces faces pouvaient passer de façon plus détendues mais qu'elles restaient redoutables.


Dans les années 60, Bonatti et Desmaison se firent une compétition pour les premières hivernales, d'autres comme Harling ouvrirent les directissimes, d'autres firent les solitaires.


A la fin des années 70 Hasegawa et Ghirardini réussirent les premières trilogies hivernales solitaires.


L'étape suivante est la plus belle, la plus magique, celle des directissimes hivernales solitaires.

Réussie en partie par Bonatti au Cervin, Sveticic à L'Eiger, Daudet aux Jorasses par exemple.


Mais le problème ce sont les "enchaînements" ou prétendus enchaînements des années 1980. Ce n'est pas le fait de tenter cela qui pose problème. L'accès est libre et chacun doit pouvoir vivre ses rêves comme il veut.


CE SONT LES COMPTES RENDUS QUI DOIVENT ÊTRE EXACT.


Oublions le cas Cesen et ses ascensions imaginaires sans preuves et parfois totalement délirantes et non désintéressées. Prenons le cas de la Trilogie Profit. Un très bel exploit sportif, personne n'en doute mais le compte rendu est-il exact ? Combien de répétitions? Préparation ou non des voies ? Dépôts ? Déposes? Récupérations en hélico comme du sommet du Cervin. Sans une relation exacte, ce sont des références qui sont faussées et c'est un piège qui s'ouvre pour bien d'autres et pas seulement les trilogistes.


Prenons le cas de Lionel Daudet. Superbe projet mais qui en y réflechissant un peu, allait droit dans un mur. Il eut fallut beaucoup de chances pour que cela passe. NE COMPTEZ JAMAIS SUR LA CHANCE EN MONTAGNE!


Dans son cas et dans les meilleures conditions, avec des liaisons en skis, il lui fallait 3 semaines pour réussir. Du long beau temps d'affilé, cela se trouve certains hivers, mais c'est déjà prendre un très gros risque.

Vient ensuite l'exponentielle de l'épuisement. Un vrai mur. Enchaîner trois semaines d'efforts aussi extrèmes que ceux de l'alpinisme hivernal, c'est vite se mettre dans le rouge. Un risque qu'il ne faut pas prendre.


Si Lionel Daudet en était resté à la logique Hasegawa-Ghirardini des années 70, deux guides de haute montagne, rappelons le, sa trilogie des directissimes devenait faisable sans prendre des risques inconsidérés. En rester à des règles simples:

Attendre une fenêtre suffisante de beau temps pour tenter une face et redescendre. Ne partir que si les conditions sont bonnes ou jugées acceptables (avalanches, froid, ...).

Récupérer ensuite. Les efforts fournis sont considérables. L' usure et la fatigue générale, la déshydratation, la perte de masse musculaire, .... LES SUR HOMMES N'EXISTENT PAS. Face à de tels efforts, il faut se réalimenter correctement et bien se reposer avant de repartir. C'est la prudence même.


Enfin, foutez vous des médias. Ces jours passés dans ces faces peuvent être les plus beaux de votre vie, alors prenez le temps d'apprécier vraiment.


Ces "grands jours " valent une vie.

QUI AVAIT INTERÊT A VOIR DISPARAÎTRE FRED VIMAL LE SURDOUE ?

Éliminer un surdoué, c'est toujours très facile pour les systèmes dominants, d'une facilité déconcertante même. Cela c'est vu pour Mozart, Evariste Galois, ...
Qui sont-ils d'abord ?
Et pourquoi parler de surdoué en mesurant un QI seulement ?
Fred Vimal était surdoué manifeste dans son monde à lui, inaccessible aux autres:
"Très sensibles autant d'un point de vue physique qu'émotionnel, les surdoués et les enfants en particulier sont très fragiles sur des domaines où la logique ne peut agir. De plus, étant hors norme, leur intégration dans la société est difficile."
Il avait déjà cette caractéristique.
"Le plus important à retenir est que le surdoué n'a pas plus d'intelligence, mais une intelligence différente."
Celle là aussi.
"Qu'est-ce qu'une intelligence différente ? C'est une intelligence qui n'utilise pas le même type de raisonnements."
Et cela aussi, facilement visible dans le comportement de Fred Vimal.
"Enfin, pour ce qui est des remarques brillantes, l'enfant surdoué n'aime pas se démarquer."
Encore un qui devait préférer l'air pur des montagnes à bien des.....
"Il risque de vous déranger dans sa différence. Lui-même se sent souvent mal à l'aise"
Pauvre Fred, on te devine dans cette description.
"il a alors pu mettre un mot sur sa souffrance - celle de se sentir seul dans une mer d'inconnus"
Et il a voulu sans doute mourir ainsi, loin de tous, assassiné dans sa différence par l'incroyable bêtise humaine, l'incroyable méchanceté des médiocres, leur haine féroce.
"Du fait de son intelligence différente, l'enfant surdoué ne comprend pas toujours les consignes qu'il interprète différemment."
Allez expliquer cela aux juges complices qui ont appliqué à la lettre une version du droit qui était celle qui allait dans les intérêts de ceux qui voulaient se débarrasser de ce surdoué.
IL y a eu violation flagrante des droits de l'homme dans son procès à Bonneville. La convention des droits de l'homme obligeait ce tribunal à parler une langue qu'il comprenne. EN D'AUTRES TERMES, C'ETAIT A CE RIPOU TRIBUNAL IMPLIQUE DANS TOUTES SORTES DE TRAFFICS MAFIEUX DE S'ADAPTER ET PAS L'INVERSE. LES JUGES DE BONNEVILLE DANS LEUR COMPLICITE TOTALE AVEC LES PEGRES LOCALES ONT VIOLE LA LOI UNE FOIS DE PLUS ET ASSASSINE UN CITOYEN FRANCAIS. LE CRIME CONTRE L'HUMANITE EST CONSTITUE.
Le seul crime et délit commis par Fred Vimal: avoir réagit comme Galois à une plus que très probable provocation. Le traquenard prémédité se renifle de loin dans cette affaire. Un guet apens avec un procès truqué au ripou tribunal de Bonneville, un classique des classiques avec la pègre chamoniarde.
ALORS QUI VOULAIT SE DEBARRASSER DE FRED VIMAL ET POURQUOI ?

La réussite superbe des Russes au Jannu face nord.



Une réussite extraordinaire et un grand réalisme.

Les délires de Cesen et du magazine vertical, cela fait longtemps qu'ils ont compris.

Note: Slovenian Tomo Cesen claimed to have climbed a direct route on the Wall of Shadows in 1989, but Reinhold Messner and other high-profile skeptics dismiss his account, citing inaccuracies in his story and his lack of photographic proof.

Friday, November 03, 2006

La Gauche ne fait rien contre les magouilles de la Chiraquie!


Marie George Buffet secrétaire d'état aux petites entreprises du gouvernement Jospin fut aussi informée des escroqueries chamoniardes:

Vol du label première trilogie hivernale des faces nord des Grandes Jorasses, du Cervin et de l'Eiger.

Usurpation du label "première solitaire de la face sud du lhotse".

Chaque été depuis 1986, le président de la Compagnie des Guides de Chamonix, en présence de toutes les autorités de la ripoublique, des maires de Chamonix et des Houches, de plus de 15000 personnes, ment délibérément lors de sa fête annuelle. Plusieurs clients des magasins Ghirardini de Chamonix s'en sont plaint car ils ne supportaient pas d'entendre de tels mensonges et vols délibérés.

Qu'à fait le gouvernement Jospin pour nettoyer cette zone mafieuse qu'est la Vallée de Chamonix ? Rien !

Il ne faut pas oublier dans cette affaire que Stolzenberg Daniel , l'hébergeur à Chamonix de Tomo Cesen, était membre du PS. La pègre Chamoniarde tient les ripoux fonctionnaires par les couilles et les oblige à courber l'échine, même avec un gouvernement socialiste. Il suffit de leur donner une petite carotte en fermant les yeux sur le travail totalement illégal des fonctionnaires qui font des cumuls d'activités public-privé en totale violation du droit du travail (guides, moniteurs de skis, colonies de vacances, ...). Et voilà nos fonctionnaires à quatre patte. Quant aux procureurs de Bonneville, cela fait longtemps qu'ils sont muselés et castrés par la pègre. Les avocats ? ceux qui ne marchaient pas dans les combines ont été priés d'aller exercer ailleurs. Les Juges, ils ont intérêt à marcher droit et à juger dans le seul interêt des clans mafieux du 74. Ainsi va la Ripoublique!

Et la Marie George Buffet, ne fit pas son travail. Juste une réponse polie sans suite. Façon de dire: on fout la paix au pègres gaullistes sur leurs zones et en retour, qu'ils ne viennent pas nous emmerder dans les notres ? C'est très probable.

Le but de l'escroquerie Cesen-Glénat, n'était pas seulement de faire du fric facile, mais aussi de faire du nettoyage en zone mafieuse 74.

Le but, ce n'était pas seulement de faire du fric dans des escroqueries à l'exploit bidon. Pendant les été 1990, 1991, 1992, les magasins de sports de Chamonix furent inondés de vêtements Great Escapes avec des posters de Tomo Cesen au Lhotse et une campagne de diffamation de plus contre la marque Ivano Ghirardini, ce dernier présenté comme le jaloux qui dénigrait le "plus grand exploit d'alpinisme de tous les temps".



Depuis la révélation de l'escroquerie avec publication de photos appartenant aux expéditions slovènes de Viky Groselj de 1981 et 1989 et présentées comme photo "tomo cesen" pour "authentifier" une "première", depuis l'enquête de la justice Slovène de 1993, croyez vous que les éditions Glénat se soient arrêtées ? Pas du tout , cela continue encore et toujours dans la désinformation la plus sordide et les manipulations. LA SECURITE DES ALPINISTES, JACQUES GLENAT N'EN A VISIBLEMENT RIEN A FOUTRE !
Grâce à la pourriture de la ripoublique, il sait qu'il ne risque rien. La chiraquie magouille partout, dans le show biz, le sport, les spectacles, .... en totale impunité.

CONTREFAÇONS:


Un petit rappel pour comprendre cette escroquerie qu'est l'affaire Cesen:

1. Ivano Ghirardini est le premier alpiniste à réussir la Trilogie hivernale solitaire des trois plus célèbres face nord des Alpes (Cervin, Grandes Jorasses, Eiger) hiver 1977- 1978. En 1979 il devient conseiller technique d'Eider et Lafuma. En 1982 il résilie ses contrats et crée sa propre entreprise. Une véritable start up! En 1986, il obtient le premier prix de gestion des entreprises artisanales, achète des terrains à Chamonix. Cela crée des jalousies et des convoitises.

2. En 1987, le GMHM, l'ENSA, la Compagnie des Guides de Chamonix, les ets Ludger Simond, ...créent une première contrefaçon avec la trilogie héliportée de Christophe Profit. Les médias omettent de signaler que cette première a été réussie dix ans plus tôt par Ivano Ghirardini et répétée par le guide Tsunéo Hasegawa. Une contrefaçon est souvent une forme de manipulation. Dans ce cas des hélicoptères, des préparations de voies, des répétitions, etc...ont été utilisés.

En 1987 toujours, L'ENSA et des magazines de montagne français (Montagnes Magazine, Alpinisme et Randonnée, Vertical) nous sortent d'un chapeau la trilogie totalement imaginaire de Cesen, de nuit par mauvais temps. Le cycle des ascensions fulgurantes de l'alpiniste fantôme qui ne fait aucune photo, il ne peut pas puisqu'il ne fait rien, qui ne dit ne grimper que par mauvais temps ou de nuit (comme cela personne ne le croise ni ne le voit jamais), commence. La diffusion massive de ces désinformations dans des magazines de montagne français constitue une mise en danger de la vie d'autrui certaine. Ceux qui vont croire à ces manipulations et mensonges et qui voudront les imiter seront en danger puisque dès le départ tout est faux. l'affaire Cesen est une des pires affaire criminelle du XXe siècle ! Une trentaine au moins d'alpinistes vont mourir à cause de ces références complètement faussées. De plus s'en prendre à un schizoïde paranoïde pour le voler c'est le genre de folie caractéristique des normopathes qui se croient à l'abri puisque majoritaires à 99%. Les conséquences peuvent être suivant des vecteurs vertigineux surtout si le phénomène d'apparitions s'est produit, comme c'est le cas avec Ivano Ghirardini en 1998.

3. Ensuite, et c'était le but de ces contrefaçons, soit par trucages héliportés, soit par trucages médiatiques, il s'agissait de reproduire le modèle original d'entreprise crée par Ivano Ghirardini. Ce sera fait avec les marques "Compagnie des Guides" et "Great Escapes" et vous pouvez voir sur les publicités ci dessus qu'il est fait ouvertement référence à des exploits imaginaires comme la prétendue ascension de la face sud du Lhotse par Cesen qui est le plus gros canular ou la plus grosse escroquerie de l'histoire de l'alpinisme.

4. Il s'agit bien d'une affaire criminelle puisque les réseaux politico mafieux de la vallée de Chamonix qui sont à l'origine de ces deux contrefaçons vont utiliser dès 1987 des moyens d'état pour éliminer Ivano Ghirardini par tous les moyens, y compris des tentatives d'éliminations physiques directes. Sauf que, le fait qu'Ivano Ghirardini soit schizoïde paranoïde, il ne sera diagnostiqué ainsi qu'en 2007, est un avantage dans ce cas de situation extrême, c'est un facteur de survie certain.

"La contrefaçon constitue un phénomène en augmentation constante qui profite de la mondialisation des échanges et qui n’épargne aucun secteur de l’activité économique. La contrefaçon, quelle que soit la forme qu’elle revêt, constitue une atteinte grave portée au droit de propriété intellectuelle détenu par une personne ou une entreprise. Les conséquences de la contrefaçon sont lourdes :

Pour les entreprises
La contrefaçon entraîne des pertes de parts de marché pour les entreprises qui en sont victimes. Elle affecte également l’image de marque des produits authentiques. Les entreprises se voient, ainsi, spoliées du bénéfice de leurs efforts d'investissement, de recherche, de création de publicité et de développement commercial. "

Il s'agit du délit de risque causé à autrui. Selon l'article 223-1 du code pénal définit cette infraction comme « le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement ».

La divulgation dans les médias de reportages sur des "exploits" de façon erronée, par omission, dissimulation de la réalité, etc... a eu des conséquence mortelles dans ce domaine particulier qu'est l'alpinisme de pointe.

Par un paradoxe, mais ce n'est pas une surprise, ce sont les alpinistes qui ont cru ou croient encore à ces reportages idéalisations qui sont le plus en danger. Par exemple, Pierre Beghin croyait aux ascension de Cesen, il voulait les imiter, sauf que celles de Cesen étaient purement imaginaires alors qu'il était lui dans la réalité. Vous connaissez la suite.

L'ENQUÊTE DE LA JUSTICE SLOVÈNE:



ANNEE 1993

LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);

CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!

1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."

Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "

3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."

4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).

5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."

3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:

"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "

Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "

4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.

5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.

Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."


6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .

Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.

Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .

ANNEE 1990/91

LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!

(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!

1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "


Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."

Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
( lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."

UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE:

TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE.

Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.

En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.

En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.

Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:

6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.

Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.

Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993

L'usurpation par Cesen des photos de Vicky Groselj !









Il n'existe aucune preuve des ascensions de Tomo Cesen et il a menti ouvertement dans le magazine Vertical (éditions glénat) en publiant sous son nom des photos appartenant à Vicky Groselj

Dès 1987, Ivano Ghirardini a contesté les prétendues réalisations rapportées dans les médias au vu des totales incohérences et invraisemblances des récits. Cesen a prétendu avoir fait une photo du sommet du Lhotse en 1990 en direction de la Combe Ouest. La photo "preuve" rapportée par Cesen est en fait une photo réalisée par l'alpiniste Slovène Vicky Groselj lors d'une expédition slovène antérieure sur le versant nord ouest. La Justice slovène a reconnu cette falsification et le caractère mensonger des déclarations de Cesen.
Cesen n'a donc plus aucune crédibilité!
Ok mais la publication par le magazine Vertical de photos "tomo cesen" à l'envers, en fait des photos appartenant à Vicky Grosselj, un autre alpiniste slovène et provenant d'expéditions slovènes antérieures constitue bien la preuve d'une manipulation. Ce magazine Vertical a été publié et il a servi de base à l'enquête de la justice slovène.
Vicky Groselj a quant à lui publié un livre avec SES photos et il est facile de voir que les photos originales lui appartiennent.
Photos Vicky Groselj, expédition Lhotse 1981
La photo originale de Vicky Groselj depuis le sommet du Lhotse et subtilisée par Cesen

Voilà, il est important que cela soit dit, c'est une question de sécurité. Des références faussées peuvent conduire à des drames en montagne.

La lettre adressée par Vicky Groselj au magazine Vertical des éditions Glénat le 9 septembre 1993, après la découverte que des photos dont il est le propriétaire, subtilisées par Tomo Cesen, avaient été publiées sans son accord avec la mention "Tomo Cesen", dans le magazine Vertical N° 28, page 61.

Destinataire: VERTICAL Boîte Postale 177 6, rue de Lieutenant Chanaron F-38008 GRENOBLE Cedex Attn. de M. Asselin
Ljubljana, le 9 septembre 1993

Monsieur,
Je vous prie de publier ma réponse à votre article intitule ''DU RIFIFI EN SLOVENIE", publie" dans le Vertical No. 59 du juin 1993, Là, vous avez interprété l'assertion de Tomo Cesen ayant mentionné ma préoccupation avec les grosses expéditions officielles du Club Alpin Slovène ainsi que son critique de celles-ci. Pour cette raison il y aurait une véritable cabale contre lui en Slovénie, ce qui n'est pas vrai.

Je favorise tous les objectifs vedettes, supérieurs et intéressants des alpinistes Slovènes dans toutes les montagnes du monde, soit les ascensions du type classique, de poche ou en solo.

Les déclarations de Cesen sur les cabales contre lui ne sont que son désir à dévier l'attention et à obscurcir les faits se référant à son argumentation malhonnête de son ascension a Lhotse ainsi qu'à son fourvoiement intentionnel du public mondial.

Comme vous le savez bien, il a fait preuve de son ascension sur Lhotse dans le Vertical No. 28 en utilisant mes photos. Il a pris ma photo de la combe ouest de l'Everest, que j'avais prise dans la face ouest du Lhotse à environ 8.350 m, pour vous la présenter comme sa photo depuis le sommet du Lhotse et comme la preuve clé' de son ascension par la -face sud.

Il a même fait référence à cette photo dans sa lettre à M. Ghiraradini, publiée dans le Vertical No. 32 en 1991.

Avant que Cesen soit parti dans la face sud du Lhotse nous avons ensemble examiné toutes mes diapositives provenant de notre expédition dans la face sud du Lhotse en 1981, ainsi que celles de mon ascension par le côté ouest en 1989 dont Cesen pourrait se servir pour son éventuelle descente.

Quelques jours après son retour du Lhotse, Cesen a emprunté chez ma femme (moi, j'étais alors en Russie) mes diapositives du Lhotse disant qu'il voudrait les montrer à ses mécènes en Italie pour leur montrer où il avait été et qu'il n'avait pas les siennes. Il les a retournées dans quelques jours. Naturellement, les diapositives ne lui ont pas été prêtées avec l'intention pour qu'il se présente comme leur auteur.

Le fait de ne pas posséder de photos depuis le Lhotse, parce qu'il na pas photographié, a été publiquement exprimé par Cesen immédiatement après son retour en Slovénie. J'étais parmi ceux qui ont eu confiance en lui et lui ont cru à son mot.

En février de cette année M. Skarja m'a demandé à lui aider avec la préparation de l'exposition des livres et revues nationales et étrangères sur les réussites des alpinistes Slovènes. Alors j'ai par hasard pris en mes mains le Vertical No. 28 ou j'ai découvert à mon surprise que Cesen avait pris ma photo pour authentifier son ascension.

Malgré ma découverte ultérieure d'autres faits, articles et lettres publiques de Cesen, où il a invoqué ma photo, Cesen a attribué le tort relatif à la publication de mes deux photos dans votre revue avec lui reconnu comme auteur et pour justifier son ascension, à vous et à l'erreur éditoriale. C'est ce qu'il avait aussi écrit dans sa lettre publique publiée dans plusieurs journaux Slovènes le 2 avril 1993.

Je ne me suis adressé à vous que pour obtenir votre explication sur ce qu'il avait dit. Vous m'avez répondu qu'il ne vous avait jamais mentionné moi comme auteur des dites photographies.

Comme publié dans le Vertical du juin dernier, Cesen vous a donne les copies en vous disant que les originaux de ces photos lui étaient volés a Milan. Ces originaux se trouvaient chez moi d'ailleurs, et s'y trouvent encore.

Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments les meilleurs
VIKY GROSELJ

1-Les photos publiés sur Vertical
2-la photo originale de Vicky Groselj réalisée le 30 avril 1989 à 8300m d'altitude au Lhotse, versant Ouest ! On peut voir la supercherie facilement, puisque sur Vertical les photos de Vicky Groselj sont publiées à l'envers avec la mention photos Tomo Cesen





Cesen et Vertical dans leur sordide manip et escroquerie ont aussi volé une photo de l'expédition slovène de 1981 en Face Sud du Lhotse.

Viky Groselj montre sur Focus que Deux photos ont été volées et publiées sur Vertical comme photos "tomo Cesen".

La publication des deux photos volées dans le magazine vertical N°28 page 61 avec la mention "tomo Cesen" alors qu'il s'agit de photos appartenant à Viky Groselj (expédition de 1989 et 1981 aux lhotse).


C'est une fois de plus Viky Groselj, qui excédé de la mauvaise foi des éditions Glénat et des mensonges délibérés de ses journalistes, des manipulations sordides, révèle le vol d'une deuxième photo mais cette fois appartenant à l'expédition Kunaver de 1981 et encore publiée à l'envers et avec la mention : photo tomo cesen. Si le fait de publier une photo prise par d'autres avec la mention photo Tomo cesen pour valider une ascension que l'on voulait présenter pour "le plus grand exploit de l'histoire de l'alpinisme" n'est pas de l'escroquerie, qu'est ce qui est de l'escroquerie ? Et les Procureurs de la République de Bonneville, la Direction Départementale de la répression des fraudes de haute Savoie n'ont jamais donné aucune suite aux dizaines de plaintes déposées par Ivano Ghirardini, preuve manifeste des complicités politico mafieuses dont bénéficient les éditions Glénat. Depuis le début, ils savaient qu'ils ne risquaient rien!

CONTREFAÇONS:


Un petit rappel pour comprendre cette escroquerie qu'est l'affaire Cesen:

1. Ivano Ghirardini est le premier alpiniste à réussir la Trilogie hivernale solitaire des trois plus célèbres face nord des Alpes (Cervin, Grandes Jorasses, Eiger) hiver 1977- 1978. En 1979 il devient conseiller technique d'Eider et Lafuma. En 1982 il résilie ses contrats et crée sa propre entreprise. Une véritable start up! En 1986, il obtient le premier prix de gestion des entreprises artisanales, achète des terrains à Chamonix. Cela crée des jalousies et des convoitises.

2. En 1987, le GMHM, l'ENSA, la Compagnie des Guides de Chamonix, les ets Ludger Simond, ...créent une première contrefaçon avec la trilogie héliportée de Christophe Profit. Les médias omettent de signaler que cette première a été réussie dix ans plus tôt par Ivano Ghirardini et répétée par le guide Tsunéo Hasegawa. Une contrefaçon est souvent une forme de manipulation. Dans ce cas des hélicoptères, des préparations de voies, des répétitions, etc...ont été utilisés.

En 1987 toujours, L'ENSA et des magazines de montagne français (Montagnes Magazine, Alpinisme et Randonnée, Vertical) nous sortent d'un chapeau la trilogie totalement imaginaire de Cesen, de nuit par mauvais temps. Le cycle des ascensions fulgurantes de l'alpiniste fantôme qui ne fait aucune photo, il ne peut pas puisqu'il ne fait rien, qui ne dit ne grimper que par mauvais temps ou de nuit (comme cela personne ne le croise ni ne le voit jamais), commence. La diffusion massive de ces désinformations dans des magazines de montagne français constitue une mise en danger de la vie d'autrui certaine. Ceux qui vont croire à ces manipulations et mensonges et qui voudront les imiter seront en danger puisque dès le départ tout est faux. l'affaire Cesen est une des pires affaire criminelle du XXe siècle ! Une trentaine au moins d'alpinistes vont mourir à cause de ces références complètement faussées. De plus s'en prendre à un schizoïde paranoïde pour le voler c'est le genre de folie caractéristique des normopathes qui se croient à l'abri puisque majoritaires à 99%. Les conséquences peuvent être suivant des vecteurs vertigineux surtout si le phénomène d'apparitions s'est produit, comme c'est le cas avec Ivano Ghirardini en 1998.

3. Ensuite, et c'était le but de ces contrefaçons, soit par trucages héliportés, soit par trucages médiatiques, il s'agissait de reproduire le modèle original d'entreprise crée par Ivano Ghirardini. Ce sera fait avec les marques "Compagnie des Guides" et "Great Escapes" et vous pouvez voir sur les publicités ci dessus qu'il est fait ouvertement référence à des exploits imaginaires comme la prétendue ascension de la face sud du Lhotse par Cesen qui est le plus gros canular ou la plus grosse escroquerie de l'histoire de l'alpinisme.

4. Il s'agit bien d'une affaire criminelle puisque les réseaux politico mafieux de la vallée de Chamonix qui sont à l'origine de ces deux contrefaçons vont utiliser dès 1987 des moyens d'état pour éliminer Ivano Ghirardini par tous les moyens, y compris des tentatives d'éliminations physiques directes. Sauf que, le fait qu'Ivano Ghirardini soit schizoïde paranoïde, il ne sera diagnostiqué ainsi qu'en 2007, est un avantage dans ce cas de situation extrême, c'est un facteur de survie certain.

"La contrefaçon constitue un phénomène en augmentation constante qui profite de la mondialisation des échanges et qui n’épargne aucun secteur de l’activité économique. La contrefaçon, quelle que soit la forme qu’elle revêt, constitue une atteinte grave portée au droit de propriété intellectuelle détenu par une personne ou une entreprise. Les conséquences de la contrefaçon sont lourdes :

Pour les entreprises
La contrefaçon entraîne des pertes de parts de marché pour les entreprises qui en sont victimes. Elle affecte également l’image de marque des produits authentiques. Les entreprises se voient, ainsi, spoliées du bénéfice de leurs efforts d'investissement, de recherche, de création de publicité et de développement commercial. "

Il s'agit du délit de risque causé à autrui. Selon l'article 223-1 du code pénal définit cette infraction comme « le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement ».

La divulgation dans les médias de reportages sur des "exploits" de façon erronée, par omission, dissimulation de la réalité, etc... a eu des conséquence mortelles dans ce domaine particulier qu'est l'alpinisme de pointe.

Par un paradoxe, mais ce n'est pas une surprise, ce sont les alpinistes qui ont cru ou croient encore à ces reportages idéalisations qui sont le plus en danger. Par exemple, Pierre Beghin croyait aux ascension de Cesen, il voulait les imiter, sauf que celles de Cesen étaient purement imaginaires alors qu'il était lui dans la réalité. Vous connaissez la suite.

L'ENQUÊTE DE LA JUSTICE SLOVÈNE:



ANNEE 1993

LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);

CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!

1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."

Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "

3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."

4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).

5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."

3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:

"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "

Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "

4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.

5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.

Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."


6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .

Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.

Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .

ANNEE 1990/91

LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!

(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!

1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "


Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."

Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
( lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."

UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE:

TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE.

Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.

En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.

En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.

Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:

6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.

Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.

Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993

L'usurpation par Cesen des photos de Vicky Groselj !









Il n'existe aucune preuve des ascensions de Tomo Cesen et il a menti ouvertement dans le magazine Vertical (éditions glénat) en publiant sous son nom des photos appartenant à Vicky Groselj

Dès 1987, Ivano Ghirardini a contesté les prétendues réalisations rapportées dans les médias au vu des totales incohérences et invraisemblances des récits. Cesen a prétendu avoir fait une photo du sommet du Lhotse en 1990 en direction de la Combe Ouest. La photo "preuve" rapportée par Cesen est en fait une photo réalisée par l'alpiniste Slovène Vicky Groselj lors d'une expédition slovène antérieure sur le versant nord ouest. La Justice slovène a reconnu cette falsification et le caractère mensonger des déclarations de Cesen.
Cesen n'a donc plus aucune crédibilité!
Ok mais la publication par le magazine Vertical de photos "tomo cesen" à l'envers, en fait des photos appartenant à Vicky Grosselj, un autre alpiniste slovène et provenant d'expéditions slovènes antérieures constitue bien la preuve d'une manipulation. Ce magazine Vertical a été publié et il a servi de base à l'enquête de la justice slovène.
Vicky Groselj a quant à lui publié un livre avec SES photos et il est facile de voir que les photos originales lui appartiennent.
Photos Vicky Groselj, expédition Lhotse 1981
La photo originale de Vicky Groselj depuis le sommet du Lhotse et subtilisée par Cesen

Voilà, il est important que cela soit dit, c'est une question de sécurité. Des références faussées peuvent conduire à des drames en montagne.

La lettre adressée par Vicky Groselj au magazine Vertical des éditions Glénat le 9 septembre 1993, après la découverte que des photos dont il est le propriétaire, subtilisées par Tomo Cesen, avaient été publiées sans son accord avec la mention "Tomo Cesen", dans le magazine Vertical N° 28, page 61.

Destinataire: VERTICAL Boîte Postale 177 6, rue de Lieutenant Chanaron F-38008 GRENOBLE Cedex Attn. de M. Asselin
Ljubljana, le 9 septembre 1993

Monsieur,
Je vous prie de publier ma réponse à votre article intitule ''DU RIFIFI EN SLOVENIE", publie" dans le Vertical No. 59 du juin 1993, Là, vous avez interprété l'assertion de Tomo Cesen ayant mentionné ma préoccupation avec les grosses expéditions officielles du Club Alpin Slovène ainsi que son critique de celles-ci. Pour cette raison il y aurait une véritable cabale contre lui en Slovénie, ce qui n'est pas vrai.

Je favorise tous les objectifs vedettes, supérieurs et intéressants des alpinistes Slovènes dans toutes les montagnes du monde, soit les ascensions du type classique, de poche ou en solo.

Les déclarations de Cesen sur les cabales contre lui ne sont que son désir à dévier l'attention et à obscurcir les faits se référant à son argumentation malhonnête de son ascension a Lhotse ainsi qu'à son fourvoiement intentionnel du public mondial.

Comme vous le savez bien, il a fait preuve de son ascension sur Lhotse dans le Vertical No. 28 en utilisant mes photos. Il a pris ma photo de la combe ouest de l'Everest, que j'avais prise dans la face ouest du Lhotse à environ 8.350 m, pour vous la présenter comme sa photo depuis le sommet du Lhotse et comme la preuve clé' de son ascension par la -face sud.

Il a même fait référence à cette photo dans sa lettre à M. Ghiraradini, publiée dans le Vertical No. 32 en 1991.

Avant que Cesen soit parti dans la face sud du Lhotse nous avons ensemble examiné toutes mes diapositives provenant de notre expédition dans la face sud du Lhotse en 1981, ainsi que celles de mon ascension par le côté ouest en 1989 dont Cesen pourrait se servir pour son éventuelle descente.

Quelques jours après son retour du Lhotse, Cesen a emprunté chez ma femme (moi, j'étais alors en Russie) mes diapositives du Lhotse disant qu'il voudrait les montrer à ses mécènes en Italie pour leur montrer où il avait été et qu'il n'avait pas les siennes. Il les a retournées dans quelques jours. Naturellement, les diapositives ne lui ont pas été prêtées avec l'intention pour qu'il se présente comme leur auteur.

Le fait de ne pas posséder de photos depuis le Lhotse, parce qu'il na pas photographié, a été publiquement exprimé par Cesen immédiatement après son retour en Slovénie. J'étais parmi ceux qui ont eu confiance en lui et lui ont cru à son mot.

En février de cette année M. Skarja m'a demandé à lui aider avec la préparation de l'exposition des livres et revues nationales et étrangères sur les réussites des alpinistes Slovènes. Alors j'ai par hasard pris en mes mains le Vertical No. 28 ou j'ai découvert à mon surprise que Cesen avait pris ma photo pour authentifier son ascension.

Malgré ma découverte ultérieure d'autres faits, articles et lettres publiques de Cesen, où il a invoqué ma photo, Cesen a attribué le tort relatif à la publication de mes deux photos dans votre revue avec lui reconnu comme auteur et pour justifier son ascension, à vous et à l'erreur éditoriale. C'est ce qu'il avait aussi écrit dans sa lettre publique publiée dans plusieurs journaux Slovènes le 2 avril 1993.

Je ne me suis adressé à vous que pour obtenir votre explication sur ce qu'il avait dit. Vous m'avez répondu qu'il ne vous avait jamais mentionné moi comme auteur des dites photographies.

Comme publié dans le Vertical du juin dernier, Cesen vous a donne les copies en vous disant que les originaux de ces photos lui étaient volés a Milan. Ces originaux se trouvaient chez moi d'ailleurs, et s'y trouvent encore.

Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments les meilleurs
VIKY GROSELJ

1-Les photos publiés sur Vertical
2-la photo originale de Vicky Groselj réalisée le 30 avril 1989 à 8300m d'altitude au Lhotse, versant Ouest ! On peut voir la supercherie facilement, puisque sur Vertical les photos de Vicky Groselj sont publiées à l'envers avec la mention photos Tomo Cesen